L’analyse des chapitres 8,9,10,11,12… et 21 du DJC
Questions de compréhension:Chapitre 8
1- Relevez les procédures administratives qui précèdent l’exécution.
2 Combien de temps durent ces procédures administratives ?
3- Où se passent les exécutions ?
4-Combien de temps le narrateur a-t-il passé à Bicêtre ?
Réponses : Chapitre 8
1-Après la proclamation de la peine de mort. le dossier du condamné est envoyé au parquet puis au ministère ensuite au procureur général pour arriver enfin chez le substitut du procureur qui applique la sentence.
2-Ces procédures durent environs 6 semaines.
Nombre de jours Procédures administratives
3jours De délai après la proclamation
8 jours D’oubli au parquet
15 jours D’attente chez le ministre 3jours Le ministre renvoie au procureur général
1 jour. Chez le substitut du procureur
Total: 45 jours = 6 semaines
3-Les exécutions se passent à la place de Grève.
4-Le narrateur a passé à Bicêtre un jour c’est pour cela qu’il compte le temps qui lui reste avant la mort ou le pourvoi en cassation.
Questions de compréhension: Chapitre 9
1-Qu’apprend-on de plus sur le narrateur ?
2- Que craint le narrateur après sa mort ?
3-Quel sentiment suscitent les paroles du narrateur chez le lecteur ?
Réponses : Chapitre 9
1-On apprend que le narrateur a une mère, une femme et une petite fille de trois ans.
2-Le narrateur craint que sa petite famille ne soit détruite après sa mort parce qu’il est la seule ressource pou elle. Il craint surtout pour sa petite fille qui n’aura pas père.
3-Les paroles du narrateur suscitent la pitié chez le lecteur.
Questions de compréhension: Chapitre 10
1- Que décrit le narrateur dans ce chapitre ?
2-Complètez le tableau suivant à partir de la description de son cachot.
Eléments décrits
Composantes
Indicateurs spatiaux
3-Comment est organisée la description ?
4-Quelle est l’impression qui se dégage de cette description ?
5-Qui s’amuse à regarder le narrateur dans sa cellule ?
6-Qui tire profit de cet amusement ?
7-Qu’est-ce qui renforce le sentiment d’emprisonnement chez le narrateur ?
8-Pourquoi tient-on à surveiller le narrateur ?
Réponses: Chapitre 10
1-Le narrateur décrit son cachot.
2-
–Eléments décrits:
a-Mon cachot
–Composantes:
-Quatre murailles
Pavé
Une alcôve
Une boîte
Une botte
Une voûte
Toiles
Pas de fenêtre
Pas de soupirail
Une porte
Une ouverture
–Caractérisation:
a-De pierres de taille De dalles exhaussé
Une espèce d’enfoncement De pierres
De paille
Noire, en ogive
D’araignée épaisses
–Indicateurs spatiaux: Au dessus de/A droite de la porte
b-Le corridor
–Caractérisation: De neuf pouces carrée, coupée d’une grille en croix
Long, éclairé, aéré au moyen de soupiraux étroits
Divisé en compartiments de maçonnerie qui communiquent entre eux
–Indicateurs spatiaux:Au dessus de ma tête
c- Chaque compartiment
–Caractérisation: Sert d’antichambre a un cachot
–Indicateurs spatiaux: Au centre de la porte
d-Ces cachots :
–Caractérisation: Où l’on met les condamnés indisciplinés
–Indicateurs spatiaux: Vers le haut / Au dehors
e-Les trois premiers cabanons:
–Caractérisation:Réservées aux condamnés à mort
–Indicateurs spatiaux: Au haut du mur
3-La description de la cellule évolue de l’intérieur vers l’extérieur.
De cette description se dégage une impression d’étouffement et d’enfermement due à la complexité de l’emprisonnement. La prison devient une mort en elle-même. C’est une sorte de dédale qui donne l’impression que le narrateur ne peut échapper à son destin. Le passage de « mon cachot » à « ces cachots » montre que l’étau se resserre contre le narrateur. La prolifération de l’espace souligne l’impossibilité d’échapper à un sort qui le torture moralement..
5-Certains étrangers à la prison viennent voir le condamné dans sa cellule. Ce spectacle les amuse comme si le narrateur était une bête de cirque. Ce chapitre préfigure le départ du narrateur vers la guillotine.
6-C’est le guichetier qui tire profit de ces amusements parce qu’il reçoit de l’argent en offrant ce spectacle aux étrangers.
7-Le sentiment d’emprisonnement est renforcé par un sentiment d’enfermement et d’étouffement causé par la vigilance du surveillant qui ne quitte pas le narrateur des yeux.
8-Cette surveillance démesurée est imposée par l’obligation de garder le condamné vivant jusqu’à son exécution pour qu’il serve de modèle.
Questions de compréhension: Chapitre 11
1-Où se trouve le narrateur dans ce chapitre ?
2-Que fait le narrateur en attendant le lever du jour ?
3-comment le narrateur trouve-t-il les inscriptions sur les murs de sa cellule?
4-Faites une parallèle entre ces inscriptions et le roman.
5-Qu’apprend-on de plus sur le narrateur ?
6-Qu’est-ce qui a rappelé la mort au narrateur ?
Réponses : Chapitre 11
1-Le narrateur se trouve dans son cachot.
2-Le narrateur passe sa nuit à lire et à déchiffrer les inscriptions sur les murs de sa cellule.
3-Le narrateur trouve ces inscriptions comme un livre qui retrace l’histoire des hommes passés par cette cellule.
4-Ces inscription constituent une mise en abime du roman parce que l’histoire du condamné tel que nous la lisons est elle aussi une forme d’inscription ouverte et déclarée. Elle est adressée à public large. Elle n’est pas enfermée dans le cachot. Elle dépasse les limites de la cellule et de la prison et constitue un message adressé à toute l’humanité pour rendre compte des souffrances du condamné.
5-On apprend que le narrateur a commis un crime « moi, misérable qui ai commis un véritable crime »
6-La figure de l’échafaud a rappelé au narrateur sa condamnation à mort.
Questions de compréhension: Chapitre 12
1- Qu’a découvert le narrateur dans sa lecture de ces inscriptions ?
2- Quels souvenirs lui rappellent ses noms ?
3- Quel sentiment suscitent ces noms chez le narrateur ?
4- Quelle vision le narrateur a-t-il faite en lisant les noms des criminels ?
5- Relevez les moyens linguistiques permettant de parler de cette vision.
6- Comment le narrateur se représente-t-il cette vision ?
7- Quel commentaire le narrateur a-t-il fait après avoir fait cette vision ?
Réponses : Chapitre 12
1-Le narrateur a découvert cinq noms de cinq criminels célèbres.
2-
–Noms des criminels: Les crimes qu’ils ont commis
1-Dautin. Celui qui a coupé son frère en quatre tiers
2-Poulain… Celui qui a assassiné sa femme
3-Jeau Martin. Celui qui a tiré un coup de pistolet à son père
4-Castaing.. Ce médecin qui empoisonné son ami
5-Papavome. L’horrible fou qui tuait les enfants à coup de couteau sur la tête
3-Après s’être rappelé ces souvenirs criminels, le narrateur est saisi par un sentiment de peur et d’angoisse à l’idée de faire partie des criminels célèbres qui ont passé par la cellule où il se trouve. Il ne peut plus espérer avoir une grâce , quand il voit que tous ces condamnés avec lesquels il est confondu ont été exécutés.
Ainsi, il ne peut rien espérer de son renvoi en cassation. La peur de mourir le saisit encore une fois.
4-En lisant les noms des criminels célèbres le narrateur a fait une vision étrange: son cachot lui paraissait plein d’hommes étranges qui portaient leurs têtes dans leurs mains et qui les tenaient par la bouche car les têtes n’avaient pas de cheveux. Cette vision montre à quel point l’idée de la mort obsède le narrateur. La déclamation « O les épouvantables spectres ! » montre que l’emprise de l’idée de la mort sur le narrateur est totale.
5-Monyens linguistiques:
–Verbes de sensation: Je rêvais, il m’a semblé, il m’a paru, tous me montraient, j’ai fermé les yeux, j’ai tout vu
–Noms exprimant une sensation: Un tintement, une lueur, un rêve, une vision, une impression,
6-Représentation de la vision : les épouvantables spectres, une fumée, une imagination de mon cerveau, une chimère.
7-Après avoir fait cette vision, le narrateur considère sa cellule comme un tombeau duquel il ne peut échapper. Un tombeau qui n’a qu’une ouverture vers l’extérieur.
Questions de compréhension Chapitre: 13
1- Quel est l’événement relaté dans ce chapitre ?
2- Comment est-il présenté ?
3-Relevez le champ lexical du bruit et le champ lexical de la fête et dites ce qu’ils produisent.
4- Divisez ce chapitre en trois grandes parties et donnez un titre à chacune d’entre elles.
5- Quelle ambiance régnait à ce moment-là dans la prison ?
6- Comment le narrateur a-t-il pu suivre le spectacle
8- Quelle impression se dégage de la description de la cour de la prison ?
9- Comment s organise la description du spectacle du départ des forçats ?
10- Quel procédé l’auteur a utilisé pour décrire le départ des forçats ?
11-Relevez les préparatifs au départ des forçats en remplissant le tableau suivant :
L’entrée de la charrette
Prélude au spectacle du départ des forçats:
1- Les applaudissements des spectateurs
2-Le dépôt des chaines
Le dépôt des vêtements
12- Complétez le tableau suivant à partir du texte
L’entrée des acteurs
Le spectacle du départ des forçats:
1- Les applaudissements des spectateurs
2- Le spectacle du départ des forçats(mouvements,
départ des forçats
chants, danse…)
Le fin du spectacle (Fin malheureuse et désolante qui s’oppose à la joie du début)
13-A quel moment le narrateur/spectateur devient-il acteur ?
Réponses : Chapitre 13
1-Le narrateur relate l’événement du départ des forçats vars Toulon.
2-Le départ des forçats vers Toulon est présenté comme une cérémonie.
3-Champ lexical du bruit: bruit, on entendait ouvrir et fermer, grincer, carillonner, trembler, des pas précipités, des voix s’appeler et se répondre, tumulte
Champ lexical de la fête: les forçats étaient plus gais, tout Bicêtre semblait y rire, chanter, courir, danser, fête, cela vous amusera, un spectacle, cris de joie.
Le champ lexical du bruit et le champ lexical de la fête créent une ambiance inhabituelle dans la prison.
Les bruits et les mouvements viennent briser la monotonie terne de la vie en prison. Ces bruits constituent un prélude aux préparatifs du départ… Ces bruits annoncent un événement quoique triste se donne à lire comme un événement heureux.
4-Ce chapitre se divise en trois parties :
a) Description du cadre où va se dérouler le départ des forçats de « j’ai vu, ces jours passés » à « destinée à porter une lanterne »
b) les préparatifs au départ des forçats de « midi sonna » à « c’étaient les forçats»
c) le départ. des forçats de « à leur entrée » à « je tombais évanoui » le départ des forçats comprend un moment heureux et un moment malheureux
5-L’événement du départ des forçats vers Toulon crée une ambiance de fête et de cérémonie qui brise la monotonie terne de la prison. C’est un événement particulier qui attire toute l’attention du narrateur.
6-Le narrateur a pu suivre la cérémonie à partir de la fenêtre d’une cellule vide où il a été emmené avec beaucoup de précautions.
8-Menée en focalisation interne la description du cadre où va se dérouler la cérémonie du départ des forçats crée une impression de malaise mêlée d’une certaine amertume due à la vétusté du cadre, à son aspect lugubre et noirâtre, l’humain se trouve réduit à des yeux et à des voix, les humains sont mélangés et confondus avec le béton et le fer. Les humains sont réduits à des figures anonymes, à des visages pâles et honteux, à des corps sales, à des tenues blues. Aucune qualité morale n’est évoquée, aucune aspiration n’est soulignée. C’est un cadre qui tue. C’est une autre mort avant la mort naturelle.
11-
L’entrée de la charrette
Une charrette, escortée d’espèce de soldats sales et honteux, en uniformes bleus, à épaulettes rouges et à bandoulières jaunes, entra lourdement dans la cour avec un bruit de ferraille.
Les applaudissements des spectateurs
Les spectateurs des fenêtres éclatèrent en cris de joie, en chanson, en menaces, en imprécations mêlées d’éclats de rire poignants à entendre.
Les voix hurlèrent, tous les yeux flamboyèrent
Les acclamations railleuses des prisonniers
Le dépôt des chaînes
Les argousins se mirent tranquillement à leur besogne, l’un d’eux monta sur la charrette et jeta à ses camarades les chaînes, les colliers de voyage, et les liasses de pantalons de toile
Les uns allèrent étendre dans un coin de la cour les longues chaînes
Le dépôt des vêtements
Les autres déployèrent sur le pavé les taffetas, les chemises et les pantalons
12-
L’entrée des acteurs
Deux ou trois portes basses vomirent presque en même temps et comme par bouffées dans la cour des nuées d’hommes hideux, hurlants et déguenillés.
C’étaient les forçats.
Les applaudissements des spectateurs
A leur entrée redoublement de joie aux fenêtres
Salués d’acclamations et d’applaudissements
Une rage de battements de mains et de cris de joie.
Le spectacle du départ des forçats(mouvements, chants, danse…)
La plupart avaient des espèces de chapeaux tressés de leurs propres mains
Un jeune de dix-sept ans entra dans la cour en faisant la roue sur lui-même
Les galériens y répondaient
Echange de gaietés entre les forçats en titre et les forçats aspirants
Ils arrivaient, on les poussait
La fin du spectacle(fin malheureuse et désolante qui s’oppose à la joie du début)
Ils sortirent un à un Quand il en eut une trentaine de sortis, on referma la grille
Tous commencèrent à se déshabiller, dépouillés de leurs haillons de prison, ils s’offraient nus et debout
Une froide averse d’automne éclata
Un silence morne
Ils grelottaient, leurs dents claquaient, leurs jambes maigries, leurs genoux noueux s’entrechoquaient.
On fit asseoir les galériens dans la boue
On leur essaya les colliers
Les plus hardis palissent
Ils devinrent sombres
Il y en eut qui pleurèrent, les vieux frissonnaient et se mordaient les lèvres
13-Après le départ des forçats pour Toulon les prisonniers se sont retournés voir le narrateur qui devient à son tour acteur et la joie éclate dans la prison.
Questions de compréhension Chapitre: 14
1-Qu’est-il arrivé au narrateur à la fin du chapitre précédent ?
2-Où se trouve le narrateur dans ce chapitre ?
3-Après le réveil du narrateur, à quoi a-t-il assisté ?
4-Comment s’organise la description du départ des forçats ?
5-Comment les forçats sont-ils décrits ?
6-A quoi les forçats sont-ils assimilés ?
7-Comment la fin du spectacle du départ des forçats est-elle relatée ?
8-Quelle est l’impression produite par la description du départ des forçats ?
9-Comment s’appelle l’épreuve des forçats ?
10-Comment le narrateur trouve-t-il cette épreuve ?
Réponses : Chapitre 14
1-Frustré et angoissé par le spectacle du départ des forçats, le narrateur s’est évanouit puis il fut conduit à l’infirmerie de la prison.
2-Le narrateur se trouve dans l’infirmerie de la prison Bicêtre.
3-Après son réveil le narrateur a assisté à la dernière phase des préparatifs au départ des forçats pour
Toulon.
4-La description du départ des forçats est organisée selon quatre tableaux : trois dans le chapitre précédent et un dans ce chapitre
a) la visite des médecins
b) la visite des geôliers
C) le ferrage
d) le début du voyage
5-les forçats sont décrits comme des corps sans âmes, lorsqu’ils sont enchaînés, ils perdent toute caractéristique humaine, ils sont réduits à un ensemble appelé cordon. Ils sont injuriés par les spectateurs et tabassés par les gardiens. Ils n’ont aucune dignité humaine. Ils sont réduits à des choses sans aucune valeur et dont on veut se débarrasser à tout prix.
6-Les forçats sont assimilés à des troupeaux d’animaux sauvages attachés les uns aux autres et entassés dans des charrettes au’on réserve généralement au transport des animaux.
7-La fin des préparatifs au départ des forçats est relatée avec amertume et désolation au point où le narrateur préfère la guillotine aux galères quand il a vu le traitement réservé aux galériens.
8-La description du départ des forçats crée une impression de malheur et de mélancolie. Le lecteur se trouve investi par un sentiment de pitié pour ces hommes qui doivent supporter le froid, le soleil, les coups et les calvaires du voyage pendant vingt-cinq jours. Il est vrai que ces hommes ont commis des crimes mais ils méritent d’être considérés comme des humains et non pas comme des animaux.
9-l’épreuve des forçats s’appelle les galères.
“10-Le narrateur trouve cette épreuve plus dure que la mort. C’est pour cela qu’il préfère la guillotine aux
galères.
Questions de compréhension chapitre: 15
1-Qu’apprend-on de plus sur le narrateur ?
2-De quelle maladie souffre-t-il ?
3-Qu’est-ce que le narrateur aurait dû envisager quand il était à l’infirmerie ?
4-Que pense la narrateur de son renvoi en cassation ?
Réponses : Chapitre 15
1-On apprend que le narrateur est jeune, sain et sauf, qu’il est robuste et ne souffrant d’aucune maladie.
2-La maladie dont souffre l’auteur n’est pas une maladie physique mais une maladie mentale. Il est angoissé par l’idée de la condamnation à mort.
3-Le narrateur pense qu’il aurait dû s’évader quand il était à l’infirmerie.
4-Le narrateur pense à l’évasion parce qu’il s’est rendu compte que son pourvoi en cassation est inespéré car tout est calculé d’avance. Ce n’est que question de six semaines d’attente et l’exécution aura bel et bien lieu.
Questions de compréhension chapitre: 16
1-Qu’est-ce que le narrateur a entendu quand il était à l’infirmerie ?
2-De quoi parle la chanson ?
3-Qu’est-ce qui a effrayé le narrateur dans cette chanson ?
4-Quel sentiment lui a éveillé en lui cette chanson ?
Réponses : Chapitre 16
1-Le narrateur a entendu une petite fille chanter une chanson bizarre en argot.
2-La chanson parle d’un homme qui avoue à sa femme qu’il a tué un homme, lui a volé son argent, sa montre et ses boucles de souliers. Il lui raconte comment les gendarmes l’ont arrêté et lui ont mis les menottes.
3-Le narrateur a été effrayé par l’histoire macabre que racontait cette petite fille.
4-Cette chanson a suscité en lui un sentiment d’angoisse et du malheur au point où tout lieu, tout objet, tout humain deviennent pour lui comme incarnant la prison. La prison devient comme un spectre qui reparaît sous plusieurs formes.
Questions de compréhension chapitre: 17
1-Qu’est-ce que le narrateur ne cesse d’imaginer ?
2-Quel est le mode verbal utilisé pour cette fin ?
3-QU’est-ce qui explique les cris du narrateur à la fin de ce chapitre ?
Réponses : Chapitre 17
1-Le narrateur pense à une éventuelle évasion.
2-Le narrateur utilise le conditionnel pour parler d’une éventuelle évasion car elle n’est pas possible.
3-Angoissé par l’idée de la mort, le narrateur plonge dans une crise d’hystérie parce qu’il ne peut pas s’évader de la prison. Les cris du narrateur sont rendus par l’emploi de la phrase exclamative et les répétitions.
Questions de compréhension chapitre: 18
1-Quand se passe la scène racontée ?
2-Qui a visité le narrateur dans son cachot ?
3-Que lui a-t-il demandé ?
4-Qu’est-ce que la narrateur a cru ?
Réponses : Chapitre 18
1-La scène se passe à six heures du matin.
2-Le guichetier est venu rendre visite au narrateur.
3-Le guichetier a demandé au narrateur ce qu’il voulait manger pour le déjeuner
4-Pris de terreur, le narrateur a cru que l’heure de l’exécution est venue.
Questions de compréhension chapitre: 19
1-Quelle est la seconde personne qui a visité le narrateur dans sa cellule ?
2-Que lui a-t-elle demandé ?
3-Commentez la phrase qui encadre ce chapitre.
4-Qu’est-ce qui rend cette scène tragique ?
Réponses : Chapitre 19
1-Le directeur de la prison est venu lui aussi rendre visite au narrateur dans sa cellule.
2-Le directeur est venu s’assurer si le narrateur ne se plaint pas d’un quelconque mauvais traitement
3-Cette scène commence et se termine par la même phrase, cela montre d’une part que le narrateur est obsédé par l’idée de la mort. La répétition de cette phrase forme une structure en boucle qui simule le cercle infernal dans lequel se trouve le narrateur et l’enfermement qui le torture.
4-Cette scène est tragique parce qu’on y trouve des comportements illogiques : on demande au condamné, qui n’attend que la mort, s’il se plaint de quelque chose. L’indifférence des autres rend la situation du narrateur pathetique.
Questions de compréhension chapitre: 20
1-Que pense le narrateur de ces visites ?
2-Relevez le portrait du geôlier.
3-Quelle image le narrateur donne-t-il de la prison ?
4-Qu’est-ce qui explique l’angoisse du narrateur ?
Réponses : Chapitre 20
1- Le narrateur pense que ces visites relèvent du travail du personnel de la prison.
2-Portrait du geôlier : portrait moral : bon, sourire bénin, paroles caressantes, son œil qui flatte, Qui espionne
3-Tout incarne pour le narrateur la prison. Malgré la gentillesse du geôlier, le narrateur le trouve lui aussi prison. La prison devient protéiforme, elle est sous forme d’une idée mais aussi sous forme de murs. de barreaux de fer, d’humains et murailles. La prison devient une espèce de monstre qui dévore le narrateur.
4-L’angoisse du narrateur s’explique par sa prise de conscience que son heure est venue et qu’il n’a plus d’espoir d’être gracié.
Questions de compréhension chapitre: 21
1-Quelle est la troisième personne qui a visité le narrateur dans son cachot ?
2-Pourquoi l’huissier de la cour royale de Paris est venu rendre visite au narrateur ?
3-Comment le narrateur a-t-il appris la nouvelle?
4-Où le narrateur a-t-il été transféré et pourquoi ?
Réponses : Chapitre 21
1-Un prêtre est venu rendre visite au narrateur dans sa cellule.
2-L’huissier de la cour royale de Paris est venu dire au narrateur que sa demande du renvoi en cassation a été rejetée.
3-Quand le narrateur a appris la nouvelle du reiet de son renvoi en cassation il a d’abord accepté la décision puis il l’a rejetée en pensant à une éventuelle évasion.
4-Le narrateur a été transféré à la Conciergerie pour être conduit à la place de grève où se font les exécutions.

